Le paludisme

Originaire des régions tropicales et subtropicales, les moustiques porteurs de maladies, voyagent par bateaux, avions avec les marchandises de nos échanges commerciaux. Aujourd’hui ils sont répandus sur toute la planète.

Des simples piqûres qui vous gâchent un bon moment lors d’un BBQ., un spectacle ou de vos promenades en plein air, jusqu’aux risques encourus lors d’un voyage d’agrément ou d’affaires lointain, nous devons nous protéger pour éviter les conséquences connues des piqûres de moustiques et tiques.

Il existe plusieurs types de solutions plus ou moins contraignantes et pas sans incidence sur votre santé (DDE et autres). Confrontés directement à ses risques lors de 10 ans de voyages en Afrique et Asie, nous avons développé et expérimenté une formulation sans risque pour l’homme. Elle modifie l’apparence du CO² dégagé par notre corps et neutralise la perception du moustique femelle, qui ne vous voit plus comme son prochain repas.

Pour une simplicité d’utilisation nous avons breveté un procédé d’imprégnation d’une matière injectable sous la forme de bracelet (poignet ou cheville).

Cette formule utilisée depuis de nombreuses années donne une totale satisfaction à ses utilisateurs. Économique elle vous protège pour 6 à 10 semaines suivant votre type de peau.

Issue de l’agriculture certifiée BIO elle est exclusivement fabriquée en France et distribuée dans le monde entier.

Aedes-mosquitoes-infected-with-the-virus-anti-mosquito_2 Aussi appelé ‘malaria’, le paludisme est une maladie parasitaire potentiellement mortelle transmise par des moustiques. A l’origine, on pensait que le paludisme provenait des zones marécageuses, d’où son nom dérivé du mot ancien ‘palud’, marais. En 1880, des scientifiques découvrent la véritable cause: un parasite unicellulaire, le ‘plasmodium’, qui se transmet d’une personne à une autre par les piqûres de certains moustiques, les anophèles. Il existe quatre types de paludisme humain: plasmodium vivax, falciparum, malariae et ovale. Les deux premiers sont les plus courants. L’un d’entre eux, le Psalmodium falciparum peut entraîner la mort.

Actuellement, 40% de la population mondiale habitants les pays les plus pauvres y est exposé. La maladie touche les régions tropicales et subtropicales (exceptées les zones désertiques et hautes montagnes). Elle est responsable chaque année de plus de 300 millions de cas de maladie aiguë et d’au moins un million de décès. En zone d’endémie (pays touchés en permanence), les adultes développent une immunité partielle, appelée ‘prémunition’. Les enfants de moins de cinq ans, les femmes enceintes et les personnes immunodéprimées (atteintes du Sida par exemple) restent vulnérables.

En France, la malaria importée représente 7 000 cas chaque année et environ vingt décès. Ces chiffres sont liés à la mauvaise observance de la prophylaxie (traitement préventif) par les voyageurs. Dans 98% des cas, la contamination a lieu en Afrique.

Le parasite du paludisme, le ‘plasmodium’, pénètre dans l’organisme humain lorsqu’un moustique anophèle (une espèce vivant dans les zones tropicales et subtropicales) femelle contaminé fait un repas de sang. Une fois à l’intérieur du corps, le parasite procède à une série de transformations, qui lui permet d’échapper au système immunitaire. Il contamine ainsi le foie puis se développe dans les globules rouges. Ces derniers finissent par éclater, libérant ainsi le parasite, et une substance, l’hémozoine, qui provoque les accès de fièvre.

Cycle Paludisme Les symptômes apparaissent en général entre 9 et 14 jours après la piqûre du moustique infecté, mais peuvent survenir bien plus tard. Lorsque les parasites commencent à gagner le sang et à s’y multiplier, une fièvre modérée (38°C-38°5C) et des troubles digestifs apparaissent. En l’absence de traitement, la maladie peut évoluer vers des accès palustres rythmés (accès fébriles particuliers parfois tous les deux jours). Ces accès frappent souvent le soir et se déroulent en trois phases: la personne éprouve des frissons pendant plusieurs heures et n’arrive pas à se réchauffer. S’ensuit une montée de fièvre jusqu’à 40°5C avec des maux de tête et pour finir des sueurs qui annoncent la fin de l’accès palustre.

Les moustiques piquent pendant la nuit. Evitez les habitations à proximité d’eaux stagnantes en zone tropicales et subtropicale, pensez à vider les coupelles de réserve d’eau des plantes et tout objet pouvant retenir de l’eau. Portez en permanence un ou deux bracelets FOXYL. A l’intérieur, climatisez si possible la chambre, car le froid ralentit l’activité de ces insectes. A l’extérieur, à la tombée de la nuit, portez des vêtements à manches longues, des pantalons longs et des chaussettes. Pensez également à suivre un traitement préventif (prophylaxie) contre le paludisme.

Il est hautement recommandé de ne jamais emmener de nourrissons ou de jeunes enfants (- de 3 ans) dans une zone impaludée. Le risque mortel étant trop important.

Le diagnostic du paludisme est réalisé à partir d’une goutte de sang (‘goutte épaisse’ ou ‘frottis sanguin’) qui est étalée sur une lame, puis examinée au microscope.

La technique de la goutte épaisse permet de détecter un paludisme même si le taux de parasites est faible, comme chez une personne sous traitement préventif ayant été infectée par des souches résistances à certains médicaments.

Le frottis met en évidence l’espèce de plasmodium (parasite du paludisme) qui est en cause. Connaître l’espèce (il y en a 4), permet de juger la gravité de la maladie. L’infection au ‘plasmodium falciparum’ peut donner des complications très graves, voire mortelles.

Ces examens sont pratiqués en urgence, au moment d’un pic de fièvre, et sont réalisés avant tout traitement anti-paludéen. Les résultats sont donnés dans l’heure qui suit le prélèvement sanguin. D’autres méthodes plus récentes sont proposées comme des tests à la bandelette. Elles sont néanmoins moins précises.

Portez en permanence vos bracelets FOXYL

Pas de piqûres = pas de paludisme , dengue, Chikungunya, et autres désagréments mais en cas de piqûres :

Pour les expatriés et les voyageurs, le traitement repose sur la prise préventive de certains médicaments sur ordonnance. Il se prend durant la durée du séjour en zone endémique et se poursuit quatre semaines après le retour. Il n’assure pas une protection totale mais réduit considérablement le risque de développer la maladie et ses complications. Le choix du traitement est compliqué, car depuis plusieurs années, le parasite développe de plus en plus de résistance. D’après l’OMS, trois zones ont été déterminées, en fonction de la fréquence et de l’importance des résistances aux traitements.

Pour les pays du groupe I: (sans chloroquinorésistance), on conseille la chloroquine (Nivaquine®).

Pour les pays du groupe II: (zone de chloroquinorésistance), deux molécules sont associées: la chloroquine (Nivaquine®) et la proguanil (Savarine®).

Pour les pays du groupe III: (zone de chloroquinorésistance élevée ou de multirésistances), on propose la méfloquine (Lariam®). En cas d’accès de fièvre, consultez au plus vite pour une prise en charge hospitalière. Le malade est traité par quinine en perfusion intraveineuse. Lorsque les traitements sont appropriés et la prise en charge rapide, la guérison est possible.

Voir carte des zones à risque.

Sans traitement approprié, le paludisme peut tuer en contaminant et détruisant les globules rouges (anémie sévère) et en bloquant les vaisseaux sanguins qui véhiculent le sang jusqu’au cerveau et aux organes vitaux (coma, convulsions, œdème pulmonaire, insuffisance rénale, hémorragies…). Il est important pour toute personne malade (fièvre et troubles digestifs) ayant séjourné dans une zone endémique récemment, de consulter un médecin.